mercredi 31 août 2011

Bonne rentrée !


Un petit panneau irlandais pour tous ceux qui font leur pré-rentrée. Pour moi ça commence jeudi...

lundi 29 août 2011

Citations (3) : Ponti (C.) / Je suis fils d'enseignant


Je suis fils d'enseignant: j'ai eu la problématique enseignante et la pédagogie à l'école et à la maison, en même temps, y compris la nuit. Je sais qu'un enseignant, pour le meilleur et pour le pire, ne peut rien faire d'autre - c'est sa fonction, c'est sa nature, c'est son but et c'est son droit - que de tout transformer en matériel pédagogique. Donc, en tant qu'auteur, je n'y peux rien. Ça me fait plaisir quand c'est intéressant de mon point de vue, ça m'ennuie quand c'est inintéressant de mon point de vue. Je ne demande qu'une chose, c'est que personne ne s'imagine que je fais des livres pédagogiques et que personne ne s'imagine que je suis au service de l'enseignement.

PONTI (Claude), L'école des lettres, n°4.

dimanche 28 août 2011

Citations (2) : Appelfeld / Comprendre


"Tu as le droit de poser des questions, mais tu dois savoir que parfois on ne peut pas répondre. Il y a des choses que l'on ne peut pas expliquer, des choses que les enfants de ton âge ne peuvent pas comprendre.
Et pour faire la paix avec lui, elle ajoute :
- Crois-moi, tout s'éclaircira pour toi, très vite. Tu es un enfant intelligent, et même sans réponses, tu comprendras.
Elle écarquille les yeux, et tous deux sourient. "

La chambre de Mariana, Aharon Appelfeld, ch 3.

samedi 27 août 2011

Citations (1) : Petites fautes des bons élèves ordinaires


(N.B : Je rapatrie ces jours-ci  dans la rubrique Citations quelques citations rassemblées jadis ailleurs )



On pourrait penser que jouer les intelligences normales quand, comme moi, à douze ans, on a le niveau d'une khâgneuse, c'est facile. Eh bien pas du tout ! Il faut se donner du mal pour paraître plus bête qu'on est. Mais d'une certaine façon, ça m'empêche de périr d'ennui : tout le temps que je n'ai pas besoin de passer à apprendre et à comprendre, je l'utilise à imiter le style, les réponses, les manières de procéder, les préoccupations et les petites fautes des bons élèves ordinaires. Je lis tout ce qu'écrit Constance Baret, la deuxième de la classe, en maths, en français et en histoire et j'apprends comme ça ce que je dois faire : du français une suite de mots cohérents et correctement orthographiés, des maths la reproduction mécanique d'opérations vides de sens et de l'histoire une succession de faits reliés par des connecteurs logiques."
L'élégance du Hérisson de Muriel Barbery, p21

dimanche 21 août 2011

Ma classe des Petits, (4) : les masques du Nouvel An Chinois


Nouvel An chinois, Carnaval et masques-casques 1


Les bases de ces masques sont ici.
 

Pour notre spectacle de Carnaval, voici le casque de serpent !


 voici le casque de tigre !

 voici le casque de cochon !

 voici le casque de buffle !

 voici le casque de coq !

voici le casque de dragon !

 le casque de singe !

 voici le casque de mouton !


 le casque de chat ! 














Pour notre spectacle de Carnaval, voici le casque de rat !

 voici le casque de cheval !


 le casque de lapin !


Pour notre spectacle de Carnaval, voici le casque de chien !

samedi 20 août 2011

Ma classe des Petits, (3) : les jacinthes




MARDI 26 FÉVRIER 2008


Les jacinthes ont fleuri





Nos jacinthes ont fleuri pendant les vacances.
A. et G. les ont bien dessinées.

VENDREDI 29 FÉVRIER 2008

Un bulbe de jacinthe




C'est comme un oignon de cuisine !
Il y a une peau rose sous la peau marron, une peau blanche sous la peau rose.








Nous en avons coupé un en deux. On voit bien les feuilles partir de l'intérieur.



vendredi 19 août 2011

Ma classe des Petits, (2) : un bain japonais


Un bain japonais





Dans le livre "la famille souris se couche" de Kazuo Iwamura, la famille souris prend un bain le soir.
Elle le fait en bonne famille japonaise.
Au Japon, on se lave AVANT de rentrer dans la baignoire, avec un petit baquet rempli d'eau, du savon, et une petite serviette de toilette. Ensuite on rentre dans le bain brûlant.

jeudi 18 août 2011

Ma classe des Petits, (1) : un lit japonais


Un lit japonais





Dans "la famille Souris se couche", de Kazuo Iwamura, on voit des lits japonais. Les couettes japonaises sont comme ça, le trou est dessus, et on peut voir le joli imprimé de la couette qui est sous le drap !

Ma classe des Petits, rapatriement

Il y a quelques années, j'avais fait mon premier blog pédagogique à l'attention de ma classe de Petits de l'époque. Il était tout à fait clos, sans accès extérieur. Comme j'ai appris ensuite que je n'en avais pas le droit, j'ai arrêté de le tenir. J'en rapatrie aujourd'hui quelques articles sous le titre ma classe des Petits avant de le clore...

samedi 13 août 2011

Bih-Bih au pays, quelle merveille !



publié le samedi 29 mai 2010
Voilà, je n’osais pas le dire… Je déteste Alice au Pays des Merveilles. Celui de Lewis Carroll j’entends. Là, récemment, rattrapée par l’actualité, je me suis même acheté une édition à 2€. Lorsqu’elle m’est tombée des mains et que j’ai voulu la placer dans ma bibliothèque, je me suis aperçu que j’avais déjà l’édition bilingue, je ne m’en rappelais plus. C’est que j’avais dû déjà réessayer : quand j’étais petite, mon grand frère m’avait offert l’album illustré ; il me faisait carrément peur, et j’étais tellement mal à l’aise que j’en faisais le tour pour ne pas apercevoir la couverture où figuraient les cartes à jouer ; je le recouvrais par la Belle au Bois Dormant, dans la même collection, exactement au même format.
Je déteste Alice au Pays des Merveilles et je n’osais pas le dire. C’est la même chose avec Peter Pan. Quelle barbe que la Fée Clochette dans la version imprimée. Mais cela ne se fait pas, surtout sur un blog littéraire, de dire qu’on n’aime pas un grand classique, que c’est barbant… On peut essayer de parler de Johnny Depp alors ? Parce que le film Neverland de Marc Forster, qui raconte la genèse du livre de Peter Pan, est un des plus beaux films que j’ai vus cette année-là. Et le chapelier fou de Tim Burton ?
Oui, oui, oui, trois fois oui, j’aime le chapelier fou de Tim Burton, et la Reine de cœur, et Alice, et le Chat, et, et ; et le combat avec le montre volant, et la chute dans le fond de l’arbre, et le thé, et, et, ... Et enfin on ne se sent plus mal de se dire que les personnages « bons », comme la Reine Blanche, le sont bien malgré eux, parce qu’ils ne peuvent pas faire autrement, et sacrément tartignoles et parfaitement ennuyeux. Quelle autre classe, cette Reine Rouge ! J’ai plongé tout droit pendant deux heures, et sans me souvenir que je portais de grosses lunettes, dans l’univers d’Alice, dans l’incohérence du monde, et de ses soumissions. C’est même cela qui m’a fait dépenser les fameux deux euros, pour retrouver, pour retrouver…. Mais a-t-on le droit de le dire sur un blog de littérature enfantine que, que…
Joker, j’ai un joker double !
Parce que je viens de découvrir (oh la honte) le dernier Claude Ponti qui est sorti depuis novembre et que je ne connaissais pas. Il s’appelle Bih-Bih et le Bouffron-Gouffron. Mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm.
C’est le plus grand Claude Ponti paru, je parle du format hein ! (du coup, le plus cher aussi, bon…). Et Bih-Bih a une jolie robe bleue et un joli tablier blanc ; elle grandit et rapetisse dans un monde tout de travers ! Oh, j’aime, j’aime Bih-Bih… On aurait dû profiter du festival de Cannes pour présenter Claude Ponti à Tim Burton, je crois qu’ils auraient eu de quoi discuter.
Au fait, c’est quoi mon double joker ? Claude Ponti est venu signer à lalibrairie Jean Jaurès de Nice le vendredi 28 Mai de 17h à 19h ! en plein pendant le spectacle de théâtre de mon école. Mais vous me connaissez, hein,moi et les signatures… Il faut quand même que je remercie tout spécialement Lewis Carroll. Grâce à lui, j’ai une nouvelle phrase de conjuration : quand je me fais doubler dans une queue, ou que je rencontre un personnage désagréable, je crie très fort intérieurement : QU’ON LUI COUPE LA TÊTE !

2 Messages de forum

  • Bih-Bih au pays, quelle merveille !29 mai 2010 09:41, par brigitte celerier
    je préfère "de l’autre côté" à vrai dire - et pour Claude Ponti OUI

  • Bih-Bih au pays, quelle merveille !29 mai 2010 13:30, par Christian Jacomino
    J’ai toujours éprouvé, moi aussi, un peu de gêne avec Alice - en même temps, tout de même, que beaucoup de curiosité et d’admiration à son égard, et plus encore sans doute à l’égard de son créateur. Je m’imagine mal comment un enfant peut se débrouiller seul avec cette œuvre. Mais peut-être est-ce que l’on ne nous a pas dit quel usage il convient de faire de ce texte, à quels usages il est destiné dans un contexte culturel très voisin mais qui n’est pas le nôtre .
    S’il existe une tradition grand-bretonne consistant, pour les adultes, ou pour les grandes sœurs, à faire la lecture d’Alice à haute voix devant de petits groupes de plus petits, alors oui, je comprends que ce texte, avec ses illustrations, puisse constituer une interface de communication très efficace, très magique... Mais encore faudrait-il nous le dire... Nous fournir le mode d’emploi en accompagnement du texte même, ou en bonus... On dit beaucoup de mensonges sur la lecture, surtout sur les lectures d’enfance(s)... On veut nous faire croire que les livres se suffisent à eux-mêmes, qu’ils sont tout puissants, ce qui n’est pas le cas... Et ce mensonge a des conséquences de plus en plus préjudiciables en matière d’éducation !

vendredi 12 août 2011

Je veux faire partie de la sorofrèrerie de Claude Ponti !



publié le dimanche 5 décembre 2010
« À partir de deux jusqu’à beaucoup et même trop, la sœur et le frère forment un groupe qu’on appelle la sorofrèrerie. »Il fallait bien un événement d’importance pour me contraindre à reprendre la plume, ou plutôt le clavier, trop longtemps délaissé, et contribuer à cette rubrique. Le voici. Le dernier Ponti. Quand j’ai appris sa sortie et son titreSœurs et frères, je me suis dit : Zut alors ! C’est le syndrome Anthony Browne, un resucé familial un peu lourd. Mais pas du tout ! C’est la suite logique du Catalogue de parents pour les enfants qui veulent en changer, une bonne suite logique et délicieuse. Comme une adorable amie me l’a offert un matin de classe sur les lieux du crime, j’ai immédiatement chamboulé mon programme de la matinée, et testé le livre sur mes quatre ans, dont deux nouvellement munis de sorofrèreries. Effet garanti immédiat !
Un extrait ?
« les sœurs et frères à l’état de bébé ne savent rien faire d’autre que crier (brailler), manger (bouffer), dormir (ronfler), sentir fort (puer), faire pipi (beurk) et baver avec le nez qui coule (bavamorver). Les bébés sont inutiles et de plus dérangeants, voire emmerdouscailleurs. »
Là c’était le regard des deux néo-sœurofrères, très embarassé genre on-a-le-droit-de-rire-sans-culpabilité ? Les autres étant déjà hilares, ça les a détendus.
Un extrait en image ?
Une tout exprès spéciale voix-haute-nous-on-aime-les-livres...

jeudi 11 août 2011

Des yeux nouveaux sur le Chat



LE CHAT BOTTÉ ILLUSTRÉ PAR FRED MARCELLINO

publié le jeudi 13 mai 2010
En apercevant la couverture jaillie de l’enveloppe qui contenait la nouvelle édition, j’ai été aussitôt saisie par le regard du Chat. Non, pas celui irrésistible et facile façon Schrek. Autre chose. Tristesse, pitié, doute, attente...
Cette version du Chat botté, chacun la connaît par cœur, peut finir les mots du m@p projeté.
Mais le regard, le regard est nouveau. Vers cet être toujours en représentation, objet de tous les yeux, dévisagé. Les humains le regardent, l’œil rond, médusé, jusqu’à l’ogre qui ne le lâche pas une seconde. Les humains aussi se regardent. Qui vois-je, qui m’a vu ? Chacun observe et sait qu’il est guetté. C’est le destin qu’a choisi le Chat pour son maître, une vie de faux-semblant, de paraître...
Au fait, je me suis trompée ; je ne sais pas tout par cœur : ce détail m’avait échappé : « Le chat fut si effrayé de voir un lion devant lui, qu’il gagna aussitôt les gouttières, non sans peine et sans péril, à cause de ses bottes qui ne valent rien pour marcher sur les tuiles. »
  • Le Chat Botté, de Charles Perrault, illustré par Fred Marcellino, réédité dans la collection « L’heure des histoires », Gallimard Jeunesse.

Le Japon dans le malheur. Ne l'oubliez pas !


Ce n'est pas du tout pour plomber la fin des vacances, mais parce que j'y ai très souvent pensé après les événements japonais, et que là mon amie Flo de Sendai s'est rendue sur les lieux où toute une école, ses enfants et ses enseignants ont été emportés. Je me demande souvent ce que je ferai si une telle chose arrivait, comment garder son sang-froid dans une telle abomination tant qu'on est là, avec eux...
L'article est là. 

mercredi 10 août 2011

Les vieux aussi ont des histoires



LE PARAPLUIE DE MADAME HÔ : LECTURE PUBLIQuE
article du jeudi 29 avril 2010
J’avais peur que ça ne marche pas. D’abord, mes 30 petits entre 3 et 4 ans et demi avaient en début de matinée déjà confectionné deux vagues de flans aux œufs. Puis en récréation, ils avaient joué tant et plus à la bagarre, montrant à quel point la météo avait eu raison de deux semaines de congés, laissant adultes et enfants exténués et plutôt au radar ce matin.
Et voilà que les grands étaient arrivés, à l’heure, alors que nous venions de défourner les 35 ramequins ; 25 autres enfants entre 8 et 10 ans, tout intimidés de se retrouver sur le devant de la scène de la classe : parmi eux, les acteurs : un enfant assis chargé de feuilleter pour montrer les images ; quelques lecteurs debout, texte en main, la voix un peu tremblante mais très responsable, lisant lentement le récit ; et, trouvaille de dernière minute, un mime, se déplaçant très raisonnablement, traduisant simplement, les idées principales en langage de signe bavard.
Je comprenais leur trac. C’est drôlement impressionnant d’apercevoir 30 paires d’yeux braqués sur vous, captivés, alors que les bouches au dessous restent parfaitement silencieuses. Car ils n’ont pas dit un mot, ces petits, pendant la lecture. Plus silencieux que quand le lait a débordé et que les œufs furent battus en omelette. Un silence re-li-gieux, une attention parfaite.
Les images, les petits les connaissaient. Nous les avions parcourus une à une. Il y avait eu des « oh ! »lors de la découverte des transparences, des « ah » à la tourne des découpes.
Et beaucoup d’hypothèses sur le texte : qui est cette Mme Hô qu’on ne voit jamais ? où est parti son parapluie ? avec qui prend-elle le thé ? Le lendemain, quand je leur avais lu le texte, beaucoup de mystères s’étaient éclairés. Mais pas tout, pas tout : qui était cette dame sur la photo ? qui était ce monsieur ? de qui avait-il le sourire ?
Les réponses, nous les avons demandées aux grands. Ils étaient si contents de les donner. Et ils avaient compris bien des choses, qui m’avaient à ma grande honte juste effleurées, et entre autres celle-là : comme on doit être seul(e) pour faire de son seul confident un parapluie ? Ca c’est le mime qui l’a trouvé…il n’avait pas que la beauté du geste.

Après le message de Caroline, je joins quelques liens utiles autour de l'album :

mardi 9 août 2011

Vocation : ouvreuse de vitrines


"JARDINS D’ENFANCE" À LA BIBLIOTHÈQUE LOUIS NUCÉRA
texte du jeudi 22 avril 2010

Alias la série : des vitrines, des lasers et des acrobates qui cambriolent. Voilà ce que je voudrais être à l’expo « Jardins d’enfance » : une ouvreuse de vitrines. J’aurais aimé construire un monde à ma façon avec le coffret de Diane de Bournazel. C’est bien le titre qui est écrit. Mais les cubes couverts de frises, de motifs, lignes, signes, graphitis, où le bleu profond domine, on n’y peut pas toucher, on n’y peut pas jouer, créer des images, des réseaux, des villes… Ma vocation d’architecte se perd dans le dépit des vitres.
Alors je tente jardinier, avec la jardinière de Frédérique Le Lous Delpech. Déployer l’accordéon, gober la grande silhouette qui traverse les feuillets, souffler sur les pétales de coquelicots. Mais comme un papillon, je me heurte à la paroi m’empêchant d’explorer les merveilles toutes dissimulées au verso ... Un monde de merveilles, de frustrations : on aimerait déplier, toucher, sentir. Où toutes ces merveilles vont-elles disparaître lorsque l’exposition sera terminée le 21 mai ? Dans un cabinet des curiosités. J’en suis malade de jalousie et d’impuissance.Je ressemble au loup de Pascale Breysse, pris dans le filet des petits cochons…
Exposition « Jardins d’enfance » à la Bibliothèque Louis Nucéra, jusqu’au 20 Mai 2010.

2 Messages de forum

  • Vocation : ouvreuse de vitrines23 juillet 2010 16:20, par Laurence JEANDIDIER
    C’est avec un grand retard que je vous remercie pour ce commentaire magnifique.
    Je comprends bien votre dépit : rien n’est plus vexant que de se contenter d’un lèche-vitrine devant toutes ces petites merveilles que les bibliothécaires ont eu la chance de manipuler avec toutes les précautions nécessaires.
    Mais je tiens à vous rassurer : si nous avons exposé ces petits trésors, c’est pour prouver au public que tout cela lui appartient. En effet, tous ces documents sont conservés à la bibliothèque patrimoniale du boulevard Dubouchage.
    Vous avez la possibilité de les voir et de les toucher en en faisant la demande aux bibliothécaires. Ils sont consultables sur place et repérables sur le catalogue informatique de la BMVR. Attention, la bibliothèque Romain Gary est actuellement fermée (réouverture le mardi 17 août)
    En vous renouvelant mes remerciements et mes félicitations
    Bien cordialement
    Laurence JEANDIDIER
    Chargée de l’Action culturelle
    Bibliothèque Louis Nucéra
    1, avenue Saint Jean Baptiste
    06364 NICE Cedex 4
    Tel : 04 97 13 48 10
    Courriel : laurence.jeandidier@ville-nice.fr
    P.S. Pourriez-vous me donner votre adresse pour que je puisse vous envoyer les invitations aux vernissages ?

    • Vocation : ouvreuse de vitrines23 juillet 2010 19:09, par Dvorah
      Merci beaucoup de votre commentaire. Oh la bonne nouvelle que vous m’annoncez là ! Je n’hésiterai pas à me rendre dans une de mes bibliothèques préférées, où j’ai tant rêvé sur les ouvrages précieux du temps de mes études...

Faire du neuf avec du vieux

Je vais rapatrier ces jours-ci quelques vieux textes publiés dans un lieu qui va disparaître. Le recyclage est dans l'air du temps. Ne vous étonnez donc pas si certains sont un peu...datés....